Sur les traces de Ziggy Stardust, Aladdin Sane (un nouveau personnage inventé par notre schizophrène) affine le glam rock de david Bowie. Les guitares hirsutes du fidèle complice Mick Ronson mènent une fois de plus le bal (The Jean Genie) mais sont contrebalancées par des chansons plus apaisées où le piano de Mike Garson tient la barre (Lady Grinning Soul et Aladdin Sane). Publié en avril 1973, ce grand cabaret baroque et décadent de Bowie accueille une fois encore une farandole de textures dépareillées, de créatures étranges et de parfums variés. © MZ/Qobuz