« [...] Il Delirio Fantastico confirme sa grande affinité vivaldienne. [...] rouspétons d'abord un coup pour la substitution (une fois de plus) de la flûte traversière par la flûte à bec… Vivaldi faisait une grande différence entre ces deux instruments (seuls les RV 94 et 108 respectent ici l’orchestration originale). Mais Virginie Botty, si précise, créative, espiègle et envoûtante, calme d’entrée toute rogne. Si l’on omet un RV 96 un peu mou et moyennement inspiré, et quelques hésitations dans la célèbre Notte, Il Delirio Fantastico aime et comprend cette musique comme peu. [...] » (Diapason, septembre 2018 / Olivier Fourés)