« Une vision abrupte, implacable, hypermaîtrisée et en même temps presque distanciée du vaste Quatuor n° 2 (1944) [...]. La jeune formation tchèque sait aussi concilier un approfondissement rhytmique très incisif et une acuité sonore qui rendent toute sa verdeur au langage de ce quatuor [...]. Le désespoir crépusculaire des Quatuors n° 7 et n° 8 (1960) appelle d'autres qualités interprétatives, que les Pavel Haas, abandonnant toute flamboyance un rien démonstrative, savent offrir. [...]. (Diapason, février 2020 / Patrick Szersnovicz)